Sous le charme de ce blason du club de Reims, et pensées pour ce moment où, quand je me rend en Alsace pour les vendanges, par la N4, je vois les premières vignes, vers Sézanne au sud de Reims. {et à chaque fois je me dis « vignes trop basses pour moi »!}

Fini les « Sang et Or », bonjour les « Noir et Or ». Jamais fait les vendanges en Alsace, Par contre, à Toulouges, à quelques kilomètres de Perpignan, si. Formidable.
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Je pensais que les vignes étaient encore plus basses du côté de Toulouges qu’en Champagne, mais les photos vues sur le net montrent des vignes pas si basses que ça!^^ {je n’ai peut-être pas très bien cherché..??!}
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Ça dépend des cépages, de la taille, du tuteurage, du palissage de la vigne….
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Je pense que là où j’ai fait les vendanges dans les années 70, les vignes ont dû bien changer. Trois semaines de vendanges à deux équipes de 13 personnes chacune, plus les deux patrons, plus le chauffeur du tracteur…Dans certaines vignes que l’on pouvaient voir, une machine à vendanger faisait ses débuts. Toute une histoire, trop longue à raconter ici, sur les us et coutumes de cette époque -et des rugbymen aussi- quoique…
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